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Macapa vs. Satar - Comparaison des tailles
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Macapa vs Satar

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Macapá est la capitale de l'État de l'Amapá, au Brésil, sur la rive gauche de l'estuaire de l'Amazone, sur la ligne de l'équateur. Son nom vient de Macapaba, un mot tupi-guarani désignant le macaba, ou bacaba, fruit pulpeux et charnu du palmier Acrocomia scelerocarpa Mart. duquel s'extrait une boisson. Macapá possède une population de 507 444 habitants et une agglomération de 621 298 habitants avec Santana, ville avec laquelle elle se conurbe toutes deux réunies au sein de la Région métropolitaine de Macapá qui regroupe le Grand Macapá depuis une loi complementaire de l'Amapá no 21, du 26 février 2003. Cinquième ville la plus riche de la région Nord la ville est responsable pour près de 2,85 % du Produit intérieur brut de la région en plus d'être la troisième agglomération de la région. Avec une superficie de 6 407 km2 représentant 4,4863 % de la superficie totale de l'État, 0,1663 % région Nord et 0,0754 % du territoire national Brésilien et dans ce total près de 32,7 km2 dans le périmètre urbain.



La ville représente 55 % de la population totale de l'État d'Amapá et 3,50 % de la population de la Région Nord. Macapá est aussi la deuxième plus grande ville du plateau des Guyanes après la ville vénézuélienne de Ciudad Guayana, mais dépassant la population de la Guyane et du Surinam. Selon les chiffres de l'Institut brésilien de géographie et statistique publiées en 2010, 97,92 % de la population vit dans les zones urbaines et 2,08 % dans les zones rurales ; la densité est de 60,62 hab./km2. Macapá démontre une forte croissance économique et démographique mais aussi automobile au-delà de la moyenne nationale, sa flotte augmente de 14,93 % par an et dépassait les 201 000 automobiles au premier semestre 2017[réf. nécessaire] sans compter l'agglomération[pas clair]. Cette augmentation se fait sentir de plus en plus par les Macapaenses en occasionnant des embouteillages de plus en plus récurrents et pendant de longues minutes[réf. nécessaire].

Source: Wikipedia
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Le tambûr, tambur, tamboor, tanbur, tanbura, tamboura, dambura, tanburag, tampura, tanpura, tampuri, tamburitza, tonbul ou tunbûr (d'autres dérivés : pandura, pandore, bandora, dombra) est un instrument à cordes. Ce terme désigne une famille de luths à manche long, fort différents, répandus en Chine, en Ouzbékistan, au Kazakhstan, en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Turquie, en Arménie et dans les Balkans. Il ne s'agit pas d'un instrument de percussion malgré l'homophonie du tambour, mais d'un instrument à cordes pincées. De fait, la tanpora ou tanburah égyptienne relève plus d'une erreur de vocable récente, puisqu'il s'agit d'une lyre connue sous le nom générique de simsimiyya. Il existait dans l'Antiquité au moins deux variétés distinctes de tambûr. Avec une forme plus ou moins piriforme : cet instrument est utilisé en Assyrie et en Perse, puis introduit par l'Asie mineure en Grèce, d'où il passa ensuite dans l'Empire romain. La caisse, formée d’une courbe gracieuse de la base jusqu'au manche, a évolué vers une ligne extérieure plus tranchée, s'approchant d'une forme triangulaire aux angles arrondis. Avec une forme ovale : c'est l'instrument favori des Égyptiens. On le rencontre aussi en Perse antique et parmi les Arabes d'Afrique du Nord, qui l'ont introduit en Espagne.Le terme sumérien pantur est à l'origine du tambur persan et du pandoura gréco-latin qui désigne aujourd'hui une variété de cithare-luth ukrainienne (la bandoura) et un petit luth géorgien (le panduri). Les Persans utilisaient un tambûr à six cordes, qu'ils distinguaient des autres instruments. Un tambûr figure sur un bas-relief assyrien exposé au British Museum, qui date du règne de Assurnazirpal II, vers 880 av.



J.-C.. Dans une scène illustrant la vie dans un camp, le musicien joue d'un tambûr piriforme avec un manche très long et fin, qui n'aurait pu avoir que deux cordes, tandis que deux hommes déguisés dansent. Le tambûr a évolué avec les Romains, qui ont élargi le manche pour accueillir quatre cordes et adopté une caisse ovale. On en trouve un exemple sur les marbres de la collection Townley au British Museum, où un bas-relief daté de 150 av. J.-C. illustre le mariage d'Eros et de Psyché montre l'instrument en entier et de profil. C'est au VIIIe siècle que le terme tunbûr apparaît dans un manuscrit arabe. Il se répand très vite sous la forme de tambûr dans tout le Moyen-Orient. Dans ses traités de musique, Al-Farabi, un philosophe persan du Xe siècle, mentionne deux types de tambûr, consacrant un chapitre à chacun : celui du Khorasan de type persan, et celui de Bagdad de type assyrien. Ces deux instruments diffèrent en forme, en taille et par la disposition des frettes. Al-Farabi ne décrit pas la forme de la caisse, détaillant davantage les dimensions de l'instrument. Au XIe siècle, le tambûr parvient en Inde, bien qu'il existait déjà un long luth dans le sud du pays. C'est sans doute à la même période, à la faveur de l'expansion de l'islam, qu'il se répand autour de la Route de la soie. Le tambûr a traversé le Moyen Âge et l'époque moderne sous différents noms. Les miniatures des Cantigas de Santa Maria représentent des instruments ovales comme le scheschta, alors qu'une variété à trois cordes est connue sous le nom de schrud.

Source: Wikipedia

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