
Confidentialité
Ho | |
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Population | 0 |
HO peut signifier :
haute occupée, c’est-à-dire l'orbitale moléculaire occupée (par un doublet d'électrons) d'énergie la plus haute,
Hors-œuvre, une notion utilisée pour établir un avant-métré,
Échelle HO, une échelle de réduction très utilisée en modélisme ferroviaire (1/87e),
Hospitalisation d'office, une modalité de l'hospitalisation sans consentement en France,
Honduras, selon la liste (désuète) des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2,
H.O., la moto Houzé-Offenstadt,Ho, հօ ou հո en arménien ([ho]), est la 16e lettre de l'alphabet arménien.
Ho est le symbole de :
holmium, un élément chimique, selon la liste des éléments chimiques,Ho peut signifier :
Ho !, un film franco-italien de Robert Enrico (1968)
Ho, Ho, Ho, un album de RuPaul (1997 en musique)
Un nom de famille chinois et coréen, dont certains représentants célèbres sont :
Alice Becker-Ho (1941-), écrivaine française ;
Derek Ho (1964-2020), un surfeur américain ;
Godfrey Ho, réalisateur hongkongais de nombreux films d'arts martiaux de série B, souvent comprenant des ninjas.
Tartu | |
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Population | 102414 |
Tartu (prononcer /taʁ.tu/) (anciennement connue sous les noms de Tarbatu, Youriev, Dorpat et Derpt) est une ville d'Estonie. Avec presque 100 000 habitants, Tartu est la deuxième plus grande ville d'Estonie et la principale ville de l'Estonie du Sud.
À la fois rivale et complémentaire de la capitale Tallinn, Tartu est considérée comme la capitale culturelle et intellectuelle de l'Estonie, abritant l’université de Tartu (créée en 1632), la plus renommée du pays.
Implantée sur les bords de la rivière Emajõgi, centre d'échange majeurs au Moyen Âge et important à l'époque des Chevaliers Porte-Glaive et de la Ligue hanséatique, la ville comporte de nombreux monuments dont l'hôtel de Ville de Tartu, les restes d'une cathédrale du XIIIe siècle ainsi que la plus importante église sculptée d'Europe du Nord : l'église Saint-Jean.
Principale ville de l'arrière-pays estonien occupé par des puissances étrangères à de nombreuses reprises, Tartu fut, en réponse, l'un des principaux lieux de revendications culturelles estoniennes.